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Alzheimer précoce et demandes anticipées, Sandra Demontigny de tous les combats
Inspirante, courageuse, forte : les qualificatifs ne manquent pas pour la décrire. À 43 ans, Sandra Demontigny a déjà plusieurs vies à son actif : elle était sage femme de profession, elle est désormais autrice, mère de famille, créatrice de contenu et interlocutrice privilégiée des médias. Elle est aussi atteinte d'une forme héréditaire d’Alzheimer précoce. Une maladie coup de poing, qui l’a poussée à s’engager pour le droit à l'aide médicale à mourir anticipée, puis à devenir porte-parole de l’AQDMD. Alors que la loi sur les demandes anticipées vient d’être votée, découvrez son témoignage sur la vie avec l’Alzheimer précoce, son rapport à la mort, à l’aide médicale à mourir, et à l’engagement politique.
Aide médicale à mourir: les malades ont assez patienté
Près de dix ans se sont écoulés depuis que le Québec s’est fait l’un des pionniers de la compassion dans les soins de fin de vie. Pourtant, les médecins et les patients québécois craignent à nouveau de se retrouver pris dans un régime d’aide médicale à mourir (AMM) à deux vitesses. Les experts et les citoyens ont beau s’entendre, nos gouvernements, eux, refusent d’avancer en symbiose. C’est une triste impression de déjà-vu qui se dessine.
Demande anticipée et aide médicale à mourir : la loi sur les soins de fin de vie évolue
La Loi modifiant la Loi concernant les soins de fin de vie et d’autres dispositions législatives (ex-projet de loi 11) a été adoptée le 7 juin 2023 par l’Assemblée nationale du Québec. Ce texte va notamment permettre aux personnes touchées par une maladie cognitive menant à l’inaptitude, telle l’Alzheimer, de bénéficier d’une demande anticipée d’aide médicale à mourir (AMM). L’AQDMD fait le point.
L’aide médicale à mourir est élargie au Québec
(Québec) Le projet de loi 11 visant l’élargissement de l’aide médicale à mourir a été adopté mercredi à l’Assemblée nationale. La ministre Sonia Bélanger promet un plan d’action pour réduire le délai controversé de 24 mois pour l’entrée en vigueur des demandes anticipées.
Il faut réduire le délai pour l’application des demandes anticipées d’aide à mourir
Madame la Ministre Sonia Bélanger, tout d’abord, nous tenons à vous remercier pour avoir mis en place le projet de loi 11 à la suite de votre collègue Christian Dubé, et d’avoir fait montre d’ouverture en n’hésitant pas à élargir les possibilités de lieux pour obtenir l’aide médicale à mourir (AMM). Toutefois, le délai que vous introduisez pour les demandes anticipées est très inquiétant.
Aide médicale à mourir: Québec ne doit pas attendre après Ottawa, dit l’opposition
La ministre déléguée à la Santé, Sonia Bélanger, avance que les discussions avec Ottawa dans le dossier de l’aide médicale à mourir pourraient repousser de deux ans l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi encadrant les demandes anticipées. Les partis d’opposition à l’Assemblée nationale l’accusent plutôt de faire preuve d’attentisme.
Aide médicale à mourir et santé mentale : quelles sont les questions qui se posent?
Actuellement, les personnes touchées uniquement par un trouble de santé mentale ne sont pas éligibles à l’aide médicale à mourir. Il s’agit pourtant d’une grande source de discussions au Québec et au Canada. La Dre Mona Gupta, psychiatre et chercheuse au CHUM, nous aide à mieux comprendre le sujet de l’aide médicale à mourir et de la santé mentale.
Délai pour la demande anticipée: «J’ai reçu la nouvelle de façon très émotive»
L’adoption du projet de loi pour amender l’aide médicale à mourir sera concrétisée d’ici le 9 juin. Malheureusement, les gens atteints d’une maladie grave devront attendre encore deux ans. Écoutez Sandra Demontigny, 43 ans, qui est atteinte d'une forme précoce et héréditaire de la maladie d’Alzheimer, ainsi que Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés et ministre déléguée en Santé.
Vers l’abandon de la notion de handicap neuromoteur
(Québec) Le groupe d’experts mandaté par la ministre déléguée à la Santé et aux Aînés, Sonia Bélanger, recommande que la notion de handicap neuromoteur soit remplacée par celle de « déficience physique grave entraînant des incapacités significatives et persistantes » dans le projet de loi sur l’aide médicale à mourir (AMM).