Aide médicale à mourir (AMM)

Le Québec est-il prêt à élargir l’aide médicale à mourir (AMM) aux personnes souffrant de troubles de santé mentale ?

De plus en plus de Québécois réclament l’aide médicale à mourir, selon les données recueillies par la Commission sur les soins de fin de vie, et ils sont du même coup plus nombreux à l’obtenir.

La ministre déléguée à la Santé et aux Aînés, Sonia Bélanger, déposera l'an prochain une nouvelle mouture du projet de loi qui avait pour but d'élargir l'aide médicale à mourir (AMM).

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Les partis leur offrent mer et monde, mais que veulent réellement les aînés du Québec ? Le Devoir l’a demandé à deux électeurs qui cumulent ensemble 189 ans de vie — et qui aspirent moins aux rutilantes maisons des aînés qu’au droit de mourir dans la dignité avant de s’y retrouver.

L’AQDMD célèbre aujourd’hui son 15e anniversaire, 15 belles années à militer pour un droit essentiel, celui de pouvoir mourir dans la dignité.

En ce 21 septembre, Journée internationale de la maladie d’Alzheimer, il est pertinent de réfléchir ensemble sur «le vivre avec l’Alzheimer au Québec». En 2018, plus de 100 000 Québécois de 65 ans et plus étaient atteints d’une maladie neurodégénérative. Ce nombre pourrait atteindre 180 000 personnes en 2030.  Âgée de 43 ans, je suis mère de trois enfants âgés de 16 à 24 ans, aussi mamie depuis un an. Ma vie a pris un tournant radical lorsque j’ai reçu un diagnostic d’Alzheimer précoce en 2018. Comme mon père, ma grand-mère paternelle et de nombreux autres avant eux, je suis atteinte de cette forme rare de la maladie. Celle où la transmission est purement génétique et où la statistique de transmission est de 50%. 

L'AQDMD fait une demande de prise de position formelle aux partis politiques au sujet de l’aide médicale à mourir.

Consultez le troisième rapport annuel sur l'aide médicale à mourir au canada 2021 dès maintenant