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Dépôt du rapport annuel d’activités 2022-2023 de la Commission sur les soins de fin de vie
Aide médicale à mourir : le cancer comme principal motif de demande
Certaines pathologies sont particulièrement représentées parmi les demandeurs d'aide médicale à mourir : le cancer est la principale. Celui-ci touche près des deux tiers des receveurs de l’aide médicale à mourir. La Dre Geneviève Richer, médecin généraliste et directrice adjointe médicale du CIUSSS de l'Ouest-de-l’Île-de-Montréal, partage son expérience pour mieux comprendre les caractéristiques des patients atteints de cancer qui décident d’avoir recours à l’aide médicale à mourir et décrypter des principaux motifs de demande de l’aide médicale à mourir (AMM).
Conférence Ted 2023 sur l’aide médicale à mourir
Dre Stefanie Green a complété ses études de premier cycle à l'Université de Toronto et a étudié la médecine à l'Université McGill, complétant une résidence en médecine familiale, puis un fellowship en soins palliatifs et en soins maternels et infantiles. Elle a passé 10 ans en médecine générale et 12 autres années à travailler exclusivement dans les soins de maternité et de nouveau-nés avant de se concentrer en 2016 sur l'aide médicale à mourir (AMM).
Pierre Yves, rien n’a changé depuis que tu m’as demandé de t’aider à mourir
En 1993, Hugues Charbonneau introduisait du curare dans la perfusion de son premier amour, Pierre Yves. Une scène immortalisée dans le film «120 battements par minute» qu’il a coproduit. Depuis, si la douleur est prise en compte avec des soins palliatifs de qualité, l’euthanasie et le suicide assisté restent interdits en France. Témoignage.
Des médecins québécois craignent des représailles
(Montréal) Même si le nombre de patients souhaitant obtenir l’aide médicale à mourir (AMM) continue d’augmenter, le Collège des médecins du Québec constate que certains médecins de la province ont peur de pratiquer cette procédure en raison de la menace de sanctions professionnelles
Aide médicale à mourir : Rendre à César ce qui appartient à César
« Les organismes à but non lucratif, dans plusieurs domaines, ont défendu la justice et le bien commun bien souvent avant les partis politiques traditionnels », écrit l’autrice.
Attention, pente glissante !
« Ce qui était d’abord conçu comme un soin de dernier recours pour écourter l’agonie, s’est considérablement élargi depuis que l’obligation d’être en fin de vie a été retirée en 2020, sans qu’on mesure pleinement la portée du changement », affirme notre éditorialiste.
Les Québécois et l’aide médicale à mourir
La nouvelle frappe l’imaginaire, gracieuseté de déclarations du président de la Commission sur les soins de fin de vie : le nombre de recours à l’aide médicale à mourir continue d’augmenter au Québec.
Les recours à l’aide médicale à mourir continuent d’augmenter au Québec
Pendant que la fréquence de l’aide médicale à mourir continue d’augmenter au Québec, cette pratique semble de moins en moins considérée comme un dernier recours. Les Québécois ont cessé de percevoir l’aide médicale à mourir comme une procédure exceptionnelle pour les personnes atteintes de maladies incurables dont la souffrance est insupportable, selon ce qu’a affirmé dans une récente entrevue le Dr Michel Bureau, qui dirige la Commission sur les soins de fin de vie qui relève de l’Assemblée nationale. « Nous n’avons plus affaire à un traitement exceptionnel, mais à un traitement très fréquent. »