Aide médicale à mourir (AMM)
Les pro-vie ont gagné
Savez-vous pourquoi, dans le débat sur l’avortement, on appelle ceux qui défendent la légalité de cette procédure médicale des «pro-choix» et non des «pro-avortement»? Parce qu’ils n’approuvent pas nécessairement l’interruption de grossesse. Ils défendent plutôt le droit des seules concernées — les femmes enceintes — de choisir ce qui est le mieux pour elles. Justin Trudeau devrait le savoir, lui qui s’est déjà déclaré «personnellement très opposé à l’avortement» tout en se disant pro-choix. Pourtant, dans le dossier de l’aide médicale à mourir pour les personnes souffrant de maladie mentale, il a laissé la logique pro-vie prévaloir. Les malades se verront imposer le choix des autres.
14 % des donneurs d’organes au Québec ont eu recours à l’aide médicale à mourir en 2022
Le nombre de Québécois qui consentent à faire un don d'organes après avoir obtenu l’aide médicale à mourir augmente, selon des données publiées lundi matin dans le Canadian Medical Association Journal.
DIRECTIVES MÉDICALES ANTICIPÉES: ce qu’il faut savoir
L'institut de planification des soins du Québec a élaboré ce mois-ci un webinaire sous forme de Questions-Réponses portant sur les directives médicales anticipées (DMA).
Aide médicale à mourir : augmentation de 42% des cas au Québec
La Commission des soins de vie à déposé jeudi matin son rapport annuel sur l’aide médicale à mourir : 5211 Québécois y ont eu recours l’année dernière.
Dépôt du rapport annuel d’activités 2022-2023 de la Commission sur les soins de fin de vie
Conférence Ted 2023 sur l’aide médicale à mourir
Dre Stefanie Green a complété ses études de premier cycle à l'Université de Toronto et a étudié la médecine à l'Université McGill, complétant une résidence en médecine familiale, puis un fellowship en soins palliatifs et en soins maternels et infantiles. Elle a passé 10 ans en médecine générale et 12 autres années à travailler exclusivement dans les soins de maternité et de nouveau-nés avant de se concentrer en 2016 sur l'aide médicale à mourir (AMM).
Des médecins québécois craignent des représailles
(Montréal) Même si le nombre de patients souhaitant obtenir l’aide médicale à mourir (AMM) continue d’augmenter, le Collège des médecins du Québec constate que certains médecins de la province ont peur de pratiquer cette procédure en raison de la menace de sanctions professionnelles
Aide médicale à mourir : Rendre à César ce qui appartient à César
« Les organismes à but non lucratif, dans plusieurs domaines, ont défendu la justice et le bien commun bien souvent avant les partis politiques traditionnels », écrit l’autrice.
Attention, pente glissante !
« Ce qui était d’abord conçu comme un soin de dernier recours pour écourter l’agonie, s’est considérablement élargi depuis que l’obligation d’être en fin de vie a été retirée en 2020, sans qu’on mesure pleinement la portée du changement », affirme notre éditorialiste.