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M. Labeaume termine son article en écrivant ceci …
S’il me reste quelque chose du départ de Gilles, et des sept années qui l’ont précédé, c’est que je me sens plus équipé pour faire face à la fin de ma vie si j’ai accès à l’aide médicale à mourir (AMM). Si la mort me faisait peur, c’est moins le cas aujourd’hui avec la perspective d’un certain contrôle sur celle-ci. Une question morale difficile pour les législateurs, on comprend, mais je ne me pose plus la question concernant l’accessibilité ultime à cet outil, même de façon anticipée, pour les victimes d’alzheimer.
Allez ! On avance, les gouvernements !