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Ensemble, continuons d’écrire l’Histoire et militons en faveur du droit de mourir dignement.
Le 2 novembre souligne la 14e Journée internationale pour le droit de mourir dans la dignité.
Pour l’occasion, nous avons interrogé deux acteurs majeurs de l’AQDMD sur l’avenir de l’aide médicale à mourir (AMM) et les directives médicales anticipées (DMA): quels progrès peut-on encore attendre de la loi et pour qui? Le Dr Georges L’Espérance, neurochirurgien, prestataire de l’AMM et président de l’AQDMD et madame Hélène Bolduc, fondatrice, nous répondent dans cette vidéo que vous trouverez ici-bas.
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Ensemble, continuons d’écrire l’Histoire et militons en faveur du droit de mourir dignement.
(Québec) Le groupe d’experts mandaté par la ministre déléguée à la Santé et aux Aînés, Sonia Bélanger, recommande que la notion de handicap neuromoteur soit remplacée par celle de « déficience physique grave entraînant des incapacités significatives et persistantes » dans le projet de loi sur l’aide médicale à mourir (AMM).
Bien que l’opinion publique soit très majoritairement en faveur du droit à mourir dans la dignité, les discussions autour des soins de fin de vie suscitent parfois des arguments contre l’aide médicale à mourir. L’AQDMD a recensé les principaux afin de vous aider à y répondre.
Les parlementaires à Ottawa ont reporté d’un an l’élargissement de l’aide médicale à mourir aux personnes dont les troubles mentaux sont le seul critère médical, mais pendant ce temps, des Canadiens doivent patienter.