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Ensemble, continuons d’écrire l’Histoire et militons en faveur du droit de mourir dignement.
Le 2 novembre souligne la 14e Journée internationale pour le droit de mourir dans la dignité.
Pour l’occasion, nous avons interrogé deux acteurs majeurs de l’AQDMD sur l’avenir de l’aide médicale à mourir (AMM) et les directives médicales anticipées (DMA): quels progrès peut-on encore attendre de la loi et pour qui? Le Dr Georges L’Espérance, neurochirurgien, prestataire de l’AMM et président de l’AQDMD et madame Hélène Bolduc, fondatrice, nous répondent dans cette vidéo que vous trouverez ici-bas.
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Un solide consensus social a fait du Québec le champion de l’aide médicale à mourir (AMM) l’an dernier. Avec des chiffres qui atteignent maintenant 5,1 % des décès, nous voilà devant les Pays-Bas (4,8 %) et la Belgique (2,3 %), où cette pratique est implantée depuis plus longtemps. Cette progression survient paradoxalement alors que son élargissement piétine à Ottawa comme à Québec. Ces retards, s’ils ne plaident en faveur d’aucune précipitation, appellent tout de même à des examens diligents en 2023.
«On entend souvent que les aspects religieux et éthiques sont en contraire avec l’aide médicale à mourir. Une dame d’un certain âge m’a déjà dit : quand je vais arriver de l’autre côté, je vais parler à Jésus et il va me comprendre parce qu’il sait à quel point je souffre. Ça nous ramène à la base», raconte la docteure Natalie Le Sage.
La présidente du groupe fédéral d'experts sur l'aide médicale à mourir se demande ce que le gouvernement espère encore accomplir en retardant l'élargissement du programme aux personnes souffrant de maladies mentales.