Le Collège des médecins du Québec, le Barreau du Québec et l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec exhortent le gouvernement fédéral à modifier sans plus attendre le Code criminel pour que les demandes anticipées d’AMM soient autorisées au Québec, écrivent les cosignataires.

Certains gestes illustrent mieux que d’autres la dignité que l’on accorde à chaque citoyen. Ils sont posés sans égard à tout différend parce qu’ils sont nécessaires, parce qu’ils touchent aux valeurs humaines et à la finalité de la vie.

Dans le cadre d’un large consensus, le Québec s’est doté de la Loi concernant les soins de fin de vie. Celle-ci vient d’ailleurs d’être amendée pour autoriser les demandes anticipées d’aide médicale à mourir (AMM) aux personnes qui craignent qu’une maladie cognitive vienne les empêcher d’y consentir le moment venu. Or, le Code criminel canadien l’interdit formellement.

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