Le Dr Alain Naud verrait d’un bon œil qu’un cancéreux qui a obtenu une autorisation d’aide médicale à mourir (AMM) n’en soit pas privé s’il est incapable de donner son consentement final au moment fixé du grand départ. Le médecin de Québec invite toutefois à la prudence lorsqu’il s’agit des demandes anticipées de personnes souffrant de maladies comme l’Alzheimer.
Ne pas rater son coup
